l'histoire de Pilipius Minius

A partit d'aujourd'hui j'ai décidé d'engager un apprentis pour pas trop cher pour lui apprendre mon métier.
J'ai mis une annonce comme quoi je prendrais le premier à se présenter.
Le premier à se présenter fut un jeune garçon d'environ 15 ans et qui voulait apprendre le métier.

J'ai commencé par lui apprendre les bases du métier, comment faire fondre le métal, il m'a écouter avec attention, puis je lui ai dis de se débrouiller tout seul.

A suivre ...

Je suis finalement rentré de très bonne humeur car j'ai réussi à obtenir un très bon de mes armes :124 000 deniers !!!
Il m'a aussitôt une autre commande pour le prix de 65 000 deniers.
J'ai donc décidé d'emmener ma femme et mes enfants au restaurant pour fêter ça. Je crois que c'est l'un des restaurants les plus riche de notre quartier.
Je n'imagine même pas tout ce que cet argent va nous permettre de faire: - rénover la maison
                                                                                                    - refaire le jardin
                                                                                                    - engager un apprentis et affranchir mes esclaves...

Ce matin je me suis levé du pied gauche (je ne sais pas si ça se disait à l'époque mais en gros ça signifie que je ne suis du tout de bonne humeur et qu'il ne faut pas me chercher).
Quand je suis sorti il pleuvait (pour changer) et en plus il fait froid !!!!!!
C'est le genre de journées qui commencent super bien (et encore je suis poli) et en plus j'ai du boulmot et beaucoup en plus, il faut que jh'aille livrer les armes et les équipements au consul Caïus car il est devenu consul pendant que moi j'allais risquer ma vie sur une ile inconnu de tout le monde.
Bon allé je me lance, j'emporte tout ce qu'il me faut et j'y vais !

J'arrive devant le consul et je m'agenouille, il me demande de me relever et nous commençons à discuter des prix qu'il voulait renégocier.

Il se réveillat brusquement durant nuit, réveillé par le bruit d'une porte qui vole en éclat, il se levat et tira de sous son lit une immense masse en acier trempé, une de ses plus belles réussites.
Il alla chercher sa femme et ses enfants puis, quand il les eut mis à l'abris, il descendit à l'étage pour voir ce qu'il se passait.
Cela faisait 10 minutes que des bruits de verre cassés oo d'amoires renversés retentissaient  à l'étage du dessous.
Pilipius entrevit 5 hommes en noir, il descendit silencieusement derrière eux et les abatit un par un puis retournat se coucher.

Pilipius est rentré hier de son voyage sur l'ile Ackera avec la commande du consul Caïus Marcus et chargé du tout nouveaux matériaux plus dure que le diamant et qui inciterait à la jalousie bon nombre de de personnes mais pour aller chercher ce nouveau matériau il avait du faire un grand détour et un très long périple sur une ile dangereuse, il avait prit du retard sur ses commandes.
De retour chez lui, Pilipius eut la surprise de voir que ses esclaves avaient presque fini les multiples  commandes, pressé d'essayer le métal rare plus dure que le diamant mais à sa surprise très simple à fondre et à forger.
Il décide ensuite d'en équiper l'arme de Caïus, quand il eut fini, il alla se coucher fier de son travail.

En fait c'est en revoyant ma femme que j'ai retrouvé la mémoire, et alors, à partir de là, je me suis souvenu de tout et je suis allé me coucher car il était tard.

Quand nous avons accostésur une terre, il m'a laissé là, sur place, tout seul, je ne savais pas quoi faire ni où aller et soudain, alors que j'allais aller déambuler dans les rues pour trouver un abri pour la nuit, j'ai vu un homme qui attendait, devant l'atelier fermé d'un forgeron.
Au plus profond de ma mémoire, quelque chose me disais que je connaissais cet homme là.

J'ai parlé à cet homme, il m'a parlé d'un mystérieux minerai capable de produire des armes magiques, il m'a dit aussi qu'il avait envoyé quelq'un chercher ce mystérieux minerai, c'est le forgeron auquel appartenait l'atelier devant lequel il était, il m'a dit aussi qu'il n'était jamais revenu de ce voyage...

     à suivre...

Pendant plus de 7 heures nous avons navigués sans parler ni échanger de mots, il m'a juste dit qu'il savait comment je m'appelais mais n'a pas voulu me dire ce nom dont je ne me rappelais plus.
On aurait dit qu'il me connaisait déjà.Puis après j'ai dormi tout le long du voyage en faisant d'horrible cauchemars, d'un monstre qui me poursuivait et d'une femme qui m'évoquait quelque chose de vague dans ma tête mais je n'arrivais pas à me rappeler quoi.

Pendant des jours j'ai cherché ce mystérieux minerai, dans le brouillard, heureusement que mon guide m'avait laissé des provisions.
Et puis un matin, dans le brouillard, je n'avais pas vu ce trou, certainement creusé par un animal ou autre forme de vie présents sur l'ile et je suis tombé dedans, assez profond je pense, car en tombant j'ai perdu connaissance.

Quand je me suis enfin reveillé, je ne savais plus ce que je faisais dans cet endroit sombre et humide, j'avais atteri dans ne caverne.
Qu'est-ce que je faisais ici, comment je m'appelais, qu'est-ce que je devais faire : AUCUNE IDEE !!!
Je crois que c'est en tombant dans le trou que j'ai du perdre la mémoire.
Au bout du tunnel, il y avait sur un socle, un objet brillant, je le pris, en me disant que ça pouvait m'être utile,  l'objet était tout était tout bizarre, c'est une impresssion impossible à décrire.Je sortis par le bout du tunnel et me retrouvaisur la plage, au milieu du brouillard.
Là, il y avait un étrange monsieur,qui m'a proposé de monter et m'a emmener sur son bateau.

Au port, un bateau m'attendait et m'emmena.
Durant 7 heures de navigation, j'essayai de demander à mon guide où nous allions mais il ne daigna me répondre. Quand j'ai regardé sur la carte pour savoir où nous allions, il n'y avait rien à l'endroit où nous étions: que du vide, la carte n'allait pas plus loin.

Au moment où nous arrivions, juste avant d'accoster, un épais brouillard a recouvert l'ile et ses alentours. Mon mystérieux guide m'a laissé descendre, puis il est parti et m'a dit qu'i reviendrait au bon moment, au moment voulu comme il disait...